Informations bibliographiques :
Les livres
De Charles Maurras :
« Mes Idées politiques est avant tout un recueil d'articles de Maurras, composé durant la détention du maître de l'Action française à la prison de la Santé d'octobre 1936 à juillet 1937. Comme ceux du Dictionnaire politique et critique, les articles ont été rassemblés par Pierre Chardon, de son vrai nom Rachel Legras. Il constitue un remarquable synthèse de la doctrine de l'auteur en matière politique, sociale et économique. Maurras a toutefois décidé de faire précéder cette anthologie d'une longue préface originale, intitulée La Politique naturelle, dans laquelle il livre sa conception anthropologique, fondée sur l'inégalité protectrice, en l'opposant à celle de l'individualisme des Lumières. Il y développe également la notion de personne. »
« Mes Idées politiques forment donc un outil précieux pour aborder la pensée du fondateur du nationalisme intégral. Clair et précis, l'ouvrage est de ce fait incontournable, tout en constituant, pour ceux qui le désirent, une introduction à un approfondissement ultérieur de la philosophie politique de Maurras. » (présentation de l'éditeur).
De Gustave Thibon :
« Un recueil d'articles écrits par Gustave Thibon à destination du grand public entre 1960 et 1980. »
« Le philosophe pose sur le monde qui l'entoure un regard plein de bon sens. Sa pensée lumineuse, et accessible à tous, nous invite à sortir des partis pris et à regarder vers le Ciel. » (présentation de l'éditeur).
Autres ouvrages d'intérêt :
Actes du colloque Droits et catholicisme. Circulations et réseaux transnationaux en France et en Europe des années 1960 à nos jours, organisé les mercredi 18 et jeudi 19 novembre 2019, à la Maison de la Recherche (75006 Paris).
Parmi les douze communications présentées, on notera particulièrement : Olivier Dard, Trois publicistes catholiques face à Vatican II : Marcel Clément, Jean Madiran et Michel de Saint Pierre (pages 109-134) ; et Humberto Cucchetti, Combat civilisationnel, « majorité silencieuse » et catholicisme de droite : Pierre Debray et les Silencieux de l'Église. 1969-1977 (pages 135-156).
« En 1960, un groupe d'universitaires, d'hommes de lettres et de journalistes (Jean Brune, Raoul Girardet, Philippe Héduy, Jacques Laurent, Jules Monnerot, Roger Nimier…) décide la création d'un organe de presse destiné à contrebattre les batteries et les feux gaullistes qui préparent l'ultime offensive décolonisatrice. Cet ouvrage se propose d'évoquer cette aventure journalistique qui reste unique dans l'histoire de la ve République tant par la qualité que par l'éclectisme de son équipe rédactionnelle. »
« Deux notables algérois, l'universitaire et député Philippe Marçais et l'avocat Marcel Kalflèche, recueillent les fonds nécessaires à la réalisation d'un tel projet. En décembre 1960 paraît le premier numéro de ce nouveau venu dans la presse sous le titre L'Esprit Public. La réaction répressive du Pouvoir ne tarde pas. Les perquisitions, les saisies et les procès intentés à ses contributeurs, se multiplient. [...] Cet ouvrage se propose d'évoquer cette aventure journalistique qui reste unique dans l'histoire de la Ve République tant par la qualité que par l'éclectisme de son équipe rédactionnelle. » (présentation de l'éditeur).
« Joseph de Maistre et son œuvre ont suscité l'intérêt du monde littéraire et philosophique dès la première moitié du XIXe siècle, faisant, dès lors, l'objet de très nombreuses études et critiques. Ils continuent à intéresser biographes, sociologues et essayistes qui cherchent toujours à mieux comprendre l'homme et l'auteur. La postérité retient surtout l'adversaire des « Lumières », le doctrinaire sectaire, dogmatique, qui aura développé une philosophie singulière, celle de l'autorité. Des auteurs plus hardis ou moins conventionnels affirment que ce penseur si singulier est un prophète, en ceci qu'il annonce le malaise idéologique et les dérives de la modernité en pointant du doigt la violence inscrite « dans l'ADN » de la Révolution et dans l'émancipation qui en est résultée. » (présentation de l'éditeur).
« C’est un fait : la pensée des rois et des princes de France est mal connue. Certes, un ouvrage précieux de Gabriel Boissy entre les deux guerres, Pensées des rois de France, a permis aux Français de découvrir la richesse de la réflexion de nos quarante rois qui, en mille ans, firent la France. Mais il convenait de combler un manque : à la fois insister sur l’aspect politique de la pensée des rois de France et faire connaître aux Français la remarquable continuité, la constante adaptation et l’extrême richesse de cette pensée après 1848. Qu’il s’agisse du comte de Chambord, ou des princes d’Orléans, qui ont pris sa succession en 1883 en tant que chefs de la Maison de France, pas un prince qui ne se soit penché sur l’état du pays et son avenir, notamment économique et social. Pas un prince non plus qui ne se soit interrogé sur les meilleures institutions à donner à la France pour en finir avec l’instabilité républicaine et la captation du pouvoir par une oligarchie. Il en est de même aujourd’hui, à l’heure où les conséquences mortifères du mondialisme pour la planète suscitent des inquiétudes toujours plus vives. Et si la monarchie royale, alliant écologie humaine et politique durable, n’était pas la voie à emprunter pour donner une chance aux Français de sortir de leurs maux ? Et si l’espérance était capétienne ? » (présentation de l'éditeur).
« La querelle entre Maurras et Bernanos ne s’est jamais éteinte, du moins du côté de l'auteur de La Grande Peur des bien-pensants, qui, à partir de 1932, désigna Maurras comme le responsable de tous les maux, après avoir reconnu en lui le maître de sa jeunesse. Axel Tisserand, qui n'a cessé de les lire depuis son adolescence, et prenant comme matière initiale les poncifs accumulés contre Maurras, revient sur les reproches que Bernanos a adressés à l'auteur de L'Avenir de l'intelligence en montrant que, loin d'être tous mérités, ils témoignent surtout, de la part de Bernanos, de l'irrésistible besoin de justifier sa rupture avec la France, un exil qui, loin d'être uniquement géographique, voire politique, est avant tout existentiel. Dès lors, pour Bernanos, les faits passent au second plan, comme en témoignent particulièrement ses diatribes brésiliennes durant la Deuxième Guerre mondiale, « ignorant[e]s de la France réelle » (Boutang), mais comme, déjà, le montraient de précédents essais polémiques dans lesquels Maurras est visé de manière quasi obsessionnelle. »
« Disciple avant tout de Drumont, ayant hérité de lui un déterminisme que Léon Daudet discernait déjà chez l'auteur de La Fin d'un monde, Bernanos, en s'appuyant sur une rhétorique de la honte, du déshonneur et de l'humiliation — son journal de la drôle de guerre s'intitule Les Enfants humiliés —, à l'instar de De Gaulle, oppose comme plus réelle son idée de la France à un peuple qui aurait démérité de son histoire. » (présentation de l'éditeur).
Réédition d'un texte édité en 2017 par les Cahiers royalistes (Documents d'Action Française).
« La Résistance des années d'occupation fut multiple. De l'engagement de Jacques Renouvin, dès novembre 1938, à celui des FFI en août 1944, de très nombreux patriotes se sont engagés dans les combats de la Libération. La doxa simplificatrice soutient que la France dite de droite, les monarchistes en particulier, ont collaboré et que la France dite de gauche fut résistante. Évidement il n'y a rien de plus faux ! Pour simple mémoire, sur les quatre maréchaux issus des combats de la Libération, deux étaient d'authentiques royalistes : Philippe de Hauteclocque (2ème DB) et Jean de Lattre de Tassigny (1er armée française). » (présentation de l'éditeur).
« Peut-on traiter objectivement de l'immigration ? Oui, à condition d'aborder le problème en se situant en dehors de toute préoccupation politicienne. Or la démocratie l'envenime car elle le place tout d'abord sur le terrain de la rentabilité électorale et de l'affrontement idéologique, en opposant, par exemple, les droits de l'homme à la préférence nationale, voire à la notion même d'identité nationale, par ailleurs très floue. De plus, incapable de résister aux sollicitations des puissances d'argent, le régime démocratique a également laissé les intérêts à courte vue du capitalisme favoriser l'immigration. Pour dépassionner le débat il convient donc de traiter de l'immigration non en fonction des idéologies, des modes ou des préjugés, mais au regard du seul critère de l'intérêt national sur les plans culturel, historique, social et économique, dans un double souci de paix et de justice sociale à l'égard de tous les résidents étrangers régulièrement présents sur le territoire national [...]. » (présentation de l'éditeur).
« Si la plupart des groupes d'écrivains revendiquent leur appartenance à un mouvement – que l'on songe au naturalisme de Zola et Maupassant, à la Négritude de Césaire et Senghor, ou encore au Nouveau Roman de Sarraute et Robbe-Grillet –, les hussards dénotent profondément car leur unité repose plus sur ce qu'ils ne sont pas que sur ce qu'ils sont. »
« En effet, ils ne constituent pas une école littéraire (tiré du Hussard bleu, leur nom leur a été attribué malgré eux), ils n'épousent pas les idéaux de leur époque (l'humanisme de Camus et l'existentialisme de Sartre), ils ne se reconnaissent pas dans le monde dans lequel ils évoluent (leur difficulté d'être les rapproche du romantisme) et, enfin, ils n'acceptent pas la bien-pensance marquant l'après-guerre (ils réhabilitent des auteurs controversés comme Céline). »
« L'écriture contestataire et le style frondeur des hussards ne fait donc aucun doute, et c'est ce qui les rassemble. De la Libération à la fin de la guerre d'Algérie, Roger Nimier, Antoine Blondin et Jacques Laurent, leurs chefs de file – rejoints plus tard par Michel Déon –, publient nombre d'essais, de pamphlets, d'histoires d'amour et de romans d'aventure. Ces jeunes auteurs désinvoltes et insouciants produisent une œuvre considérable d'une richesse absolue, marquant ainsi profondément et durablement la France des années 1950. »
« Cette brillante synthèse met enfin en lumière toute une vie culturelle qui a inspiré de nombreux artistes : de François Truffaut à Eric Neuhoff, en passant par Fabrice Lucchini ou encore Henri Verneuil (qui adapte au cinéma Un Singe en hiver, de Antoine Blondin, avec Gabin et Belmondo). » (présentation de l'éditeur).
« En matière de littérature et de style, dit-on, les conservateurs révolutionnent et les révolutionnaires conservent. Les amis du peuple parlent le français de Richelieu, les amis de l'ordre jargonnent comme des Apaches. L'idée a la peau dure : remontant au moins à Stendhal, il n'est pas rare de la trouver sous la plume des réactionnaires d'aujourd'hui, chez Houellebecq, par exemple, qui fait dire à l'un de ses personnages que tous les grands stylistes sont des réactionnaires. La droite ferait passer le style avant toute chose. À preuve, Céline, dont il serait dès lors possible d'ignorer les idées antisémites et exterminatrices, ou du moins de les dissocier radicalement du style constitutif de sa grandeur. »
« Or, Vincent Berthelier le montre, ce discours remplit historiquement une fonction politique. Il se solidifie après-guerre, chez des Hussards soucieux de minimiser l'engagement vichyste ou hitlérien de la droite littéraire et de réhabiliter leurs aînés en les présentant comme des stylistes. »
« Plus largement, en étudiant un large corpus d'auteurs de droite et d'extrême droite, ce livre ambitieux voudrait repenser les rapports entre style, langue et politique. Il s'intéresse d'abord à la conception du style et de la langue défendue par certains écrivains, tout en proposant des analyses précises de leur écriture. »
« À chaque étape, il s'agit d'explorer la problématique du style à partir des enjeux idéologiques du moment : dans l'entre-deux-guerres (Maurras, les puristes, Bernanos, Jouhandeau), dans la période de l'essor du fascisme et de la Libération (Aymé, Morand, Chardonne), enfin des années 1970 à nos jours, dans la période où s'élabore une nouvelle pensée réactionnaire (Cioran, Millet, Camus, Houellebecq). » (présentation de l'éditeur).
« Les grandes idéologies de ces deux derniers siècles l'ont martelé sans relâche : l'État-nation appartient au passé. La souveraineté nationale a alors été laissée pour morte et les peuples n'ont eu d'autre choix que d'abdiquer leur pouvoir, abandonnant toute emprise sur leur destin. Le néolibéralisme est le dernier acteur de cette désintégration de l'État et a su s'imposer dans l'imaginaire collectif afin de dresser comme seul horizon indépassable la mondialisation débridée, l'homme atomisé, et la démocratie évidée. Nous avons été assoupis face à ce qui préparait notre impuissance collective. Comment avons-nous pu être aveuglés si longtemps ? Pourquoi un tel acharnement sur la souveraineté nationale ? C'est ce que cet essai vous propose d'explorer hors des sentiers battus. Récit de l'impuissance contemporaine des peuples, d'une censure de l'action qui ne dit pas son nom. » (présentation de l'éditeur).
« Dans notre histoire, la nation a longtemps constitué un facteur décisif d'émancipation face aux empires et au pouvoir de l'Église universelle, avant d'être désignée comme coupable de toutes les guerres modernes. Cette dialectique simpliste est aujourd'hui battue en brèche, tandis que les nations européennes se trouvent plongées dans l'impasse d'un monde post-politique qui a prétendu faire triompher la paix et les Droits de l'homme grâce au dépassement de la nation. S'exprime désormais le besoin de penser à nouveaux frais la question de la souveraineté et de la cohérence des communautés politiques, spécialement quand les enjeux liés à l'immigration et au multiculturalisme mettent en évidence la nécessité de retrouver une substance commune. »
« Cet essai engagé présente la nation comme une ressource d'avenir pour répondre à ces défis et défend la thèse que son renouvellement comme cadre politique émancipateur, dans une approche confédérale et non fédéraliste de l'Union européenne, peut fournir les clés qui permettront aux nations européennes de traverser les bouleversements du monde pour rester dans l'Histoire. » (présentation de l'éditeur).
« Cela fait trois longues décennies que Sébastien Lapaque arpente les grands chemins de Georges Bernanos et qu'il médite ses avertissements. Pour Lapaque, Bernanos demeure le grand accusateur d'une époque privée de poésie et de lumière d'éternité. En relisant La France contre les robots, l'essayiste nous montre à quel point cette méditation sur la « question de la Technique » fut prophétique. En reprenant chacun des huit romans, il pointe les violences faites à l'esprit d'enfance dans un monde où tout le monde ment. Dans ce magnifique Vivre et mourir avec Georges Bernanos, Sébastien Lapaque réévalue avec une plume inoubliable la place faite à l'écrivain dans l'histoire littéraire : Bernanos se trouve désormais aux côtés de George Orwell, Pasolini, Jacques Ellul et de tous ceux qui ont critiqué les formes de vie barbares provoquées par un capitalisme sans limites. » (présentation de l'éditeur).
« Pourquoi une maison d'édition d'obédience maurrassienne propose-t-elle la biographie d'un historien aujourd'hui méconnu, nommé Numa-Denys Fustel de Coulanges ? »
« Ce qui, premièrement, relie ce dernier à l'Action Française est la relation de travail qu'il a eue avec le grand ami de jeunesse de Charles Maurras, Frédéric Amouretti. Jean Gavot dans Cent ans de Félibrige à Cannes a relaté cela : "Il se lie à lui, ce qui n'était pas chose aisée, car le célèbre historien n'était pas, paraît-il, d'abord facile. Toute sa vie, Amouretti restera fidèle à sa mémoire. Éreinté, cet historien qui eut l'insigne honneur de donner des leçons à l'Impératrice Eugénie se rendit à Cannes – ville où vivait ce dernier – pour se reposer, sentant la fin approcher. Leur rencontre fut, dit-on, intellectuellement féconde". »
« Il y a, de surcroît, une très forte ressemblance entre l'esprit de Maurras et celui de Fustel quant à leur rapport au religieux. En atteste cette phrase de celui-ci qui pourrait être aussi bien attribuée à celui-là : "Je désire un service conforme à l'usage des Français, c'est-à-dire un service à l'église. Je ne suis, à la vérité, ni pratiquant, ni croyant ; mais je dois me souvenir que je suis né dans la religion catholique et que ceux qui m'ont précédé dans la vie étaient aussi catholiques. Le patriotisme exige que si l'on ne pense pas comme les ancêtres, on respecte au moins ce qu'ils ont pensé". Il évoquait la manière dont il voulait que se déroulent ses funérailles. On peut ainsi considérer que les deux écrivains sont à ranger dans la même école scientifique, celle de l'« empirisme organisateur », inséparable d'une certaine forme d'agnosticisme. »
« Ce livre, publié par Hachette en 1896, présente l'immense intérêt de réunir les principales idées directrices de l'œuvre de l'auteur de La Cité antique, remarquablement synthétisées par un autre historien de métier, Paul Guiraud, qui connut Fustel à l'École Normale Supérieure. » (présentation de l'éditeur, dans le quotidien Je Suis Français, le 07 octobre 2022).
« La notion d'extrémisme est une notion confuse. Censée permettre l'élaboration d'une classification ou d'une cartographie des forces politiques, elle fonctionne surtout comme une forme de diabolisation de l'adversaire. Ceux qui recourent à ce terme polémique négligent souvent de définir précisément ce qu'ils considèrent comme l'expression du Mal absolu. Pour éviter les amalgames, il faut donc commencer par dissocier, dans le discours politique, les réflexes idéologiques des menaces objectives. »
« Les individus, les groupes ou les mouvements qu'on qualifie d'extrémistes font le plus souvent l'objet d'enquêtes idéologiquement orientées, dénuées de valeur scientifique. La volonté de stigmatiser et de dénoncer chasse alors celle de décrire, d'expliquer et de comprendre. »
« Cet ouvrage vise à reconstruire la catégorie d'extrémisme et à la rendre opératoire dans l'analyse des attitudes, des idéologies et des comportements politiques contemporains. Il s'agit d'abord de fixer la frontière entre le tolérable et l'intolérable. Alors peut-être pourra-t-on redéfinir un horizon politique désirable par-delà les extrémismes rivaux qui menacent ou brident nos libertés. » (présentation de l'éditeur).
Travaux universitaires
Parution : une thèse de doctorat (Langues et littératures françaises), soutenue à l'université de Toulouse 2 en juillet 2019, mais disponible au téléchargement depuis seulement quelques semaines : Joseph de Maistres, Auguste Comte, Charles Maurras et l'Antiquité, une continuité critique, de Étienne Maignan.
Numéro national de thèse : 2019TOU20046. Téléchargement sur le site HAL-Archives ouvertes.
Les revues
Parution : le numéro 67 (1°trimestre 2022) de La Nouvelle Revue Universelle est paru.
À noter les dossiers « Fiévreuse planète », textes de Philippe Lallement & Michel Maffesoli ; ainsi que « La rupture civilisationnelle », textes de Pierre Debray, Olivier Dard (entretien avec Éric Letty), Gérard Leclerc, Axel Tisserand, Dominique Decherf, Jean de Fabrègues, Guillaume Gros, Danièle Masson & Dominique Struyve.
Détail du sommaire sur l'image de la couverture, ci-contre (survoler l'image pour l'agrandir).
Parution : le numéro 68 (2°trimestre 2022) de La Nouvelle Revue Universelle vient de paraître.
On remarquera un long texte de Pierre-André Taguieff (entretien avec Giulio Meotti), Nouvelles réflexions sur le déclin et la décadence, suivi des dossiers « Fiévreuse planète », avec des études de François Schwerer, Élie Derrève, Philippe Lallement & Philippe Kaminski ; ainsi que « Le modèle portugais », textes de Axel Tisserand, Christophe Boutin, Hippolyte Renhart & Jérôme Besnard.
Détail du sommaire sur l'image de la couverture, ci-contre (survoler l'image pour l'agrandir).
Dans la presse, et sur la toile
« Ceux qui ignoraient l'existence de cette chaîne, destinée à montrer à un large public les activités du mouvement royaliste, notamment celles de l'Union royaliste provençale depuis les années 1970, auront le plaisir de regarder – et surtout – d'écouter les interventions de personnalités remarquables du mouvement de la Tradition, très majoritairement royalistes, telles que Pierre Boutang, Jean Raspail, Alain de Benoist, Gustave Thibon, Thomas Molnar, Jean-François Mattéi, Vladimir Fedorovski, Pierre Debray, Gérard Leclerc, Bernard Lugan, Dominique Paoli, Gérard de Gubernatis, Pierre Chauvet, André Bercoff, Pierre de Meuse, Olivier Dard, Jean-Pierre Péroncel-Hugoz, Annie Laurent, Hilaire de Crémiers, Christian Franchet d'Esperey, Jacques Trémolet de Villers, Bernard Pascaud, Stéphane Blanchonnet, Jean-Baptiste Donnier, Jean-Philippe Chauvin, Antoine de Crémiers, Laurent James, François Marcilhac – sans oublier l'héritier du trône de France – le Prince Jean. » (présentation de J.S.F.).